

Jules BARBEY D’AUREVILLY. L.A.S., Mardi matin [29 juillet 1862 ?] à Alcide Grandguillot « rédacteur en chef du Pays » ; 1 page in-8 à l’encre rouge sur papier à motifs floraux filigranés, enveloppe avec la mention « Très Pressée ».
Il prie son « cher rédacteur en chef » de faire publier aujourd’hui son article sur Victor Hugo dans Le Pays : « Je vous invoque toujours comme mon Ultimo Ratio. Depuis samedi, j’ai envoyé à l’imprimerie mon dernier article, Les Mameloucks de M. Hugo – que je crois bon en diable ! J’ai fait ce que vous m’avez dit, je l’ai donné pour Dimanche et afin qu’il passât Lundi ». Il est allé en vain au journal corriger les épreuves « que je croyais recevoir hier ».
Il prie de donner des ordres « pour que je paraisse ce soir, car demain est le dernier jour du mois et si je ne parais pas ce soir, je perds mon article. Échancrure au budget du mois ! »...