

Jules BARBEY D’AUREVILLY. L.A.S., Paris 5 mars 1877, à « Mon très cher Maître » [Jacques Le Marinel] ; 2 pages in-8 à sa devise Never More (deuil).
À son notaire à Saint-Sauveur.
Il a bien reçu sa lettre et les billets de quittance, et l’autorise, si vraiment nécessaire, à les mettre à son nom. « Je vous prie de veiller toujours, mon cher Notaire, à mes pauvres intérêts, dont vous avez le sens pratique bien mieux que moi ».
Il le félicite aussi pour son mariage : « Tout ce qui peut vous faire heureux me rendra heureux. Ne doutez jamais de mes sentiments à votre égard et croyez-moi toujours Votre fidèle et dévoué client »...
Il le prie de saluer son ami et parent M. Desylles auquel il compte écrire bientôt : « Il m’est impossible d’oublier combien, dans la dernière circonstance qui m’a affligé, il a été bon et exquis pour moi » [son frère Léon est mort le 14 novembre 1876]...