Conte dédié au poète et critique d'art Antony Valabrègue, mettant en scène une jeune ouvrière, son père et Valabrègue. Ayant longtemps rêvé d'aller au théâtre, la pauvrette reçoit deux billets d'auteur et, joyeuse, s'y rend avec son père, mais ils sont arrêtés sur le seuil par Valabrègue, qui leur oppose un argument incompréhensible : les théâtres ne sont point pour vous. […] Ce qu'il vous faut ce n'est point la Beauté réclamé par Mirbeau, ni les spectacles à volonté. Ce qu'il vous faut c'est du pain de gruau …